De quoi sommes-nous riches ?
De quoi sommes-nous riches, Chers Amis ? Quand on pose cette question, finalement on est assez peu à répondre par l’argent ! On est riche de tellement d’autres choses !
Mercredi 20 Novembre 2024 - Vert - 33ème Semaine du Temps Ordinaire
De quoi sommes-nous riches, Chers Amis ? Quand on pose cette question, finalement on est assez peu à répondre par l’argent ! On est riche de tellement d’autres choses !
Je dois vous emmener faire un tout petit peu d’hébreu… Pour bien comprendre cette phrase, il faut connaître le sens de trois mots, le cœur, l’âme et la force.
Nous sommes des pèlerins, ici-bas, Chers Amis. Des passagers dans un véhicule qu’on appelle le corps. Mais ce n’est pas notre lieu définitif de vie, quoi qu’on puisse en penser.
Il ne faut pas prendre le tout au pied de la lettre, il faut comprendre le langage symbolique de la Bible. Le Saint qu’on oublie toujours dans la Litanie des Saints, c’est au fond celui-ci : Saint Bolique, priez pour nous !
Il fallait de la foi et de l’humour à l’aveugle pour bondir, pour courir vers Jésus, tout nu. Il nous en faut tous les jours, de la foi et de l’humour, et pas seulement au volant de nos voitures, Dieu le sait bien.
Jésus dit à deux disciples qui précisément lui demandent ce qu’ils ont le droit de faire, Jésus leur dit : « Pouvez-vous boire à la Coupe que je vais boire ? » Il ne leur dit pas : « Avez-vous le droit de boire à cette Coupe ? » Il leur dit : « Pouvez vous ? »
Le sel. Soyez sel l’un pour l’autre, Mathilde et Julien. Le sel, c’est ce qui donne du goût au plat de la vie que l’on déguste peu à peu, jour après jour. Donnez-vous du goût l’un à l’autre.
Cela vous arrive-t-il aussi de dire à Dieu que vous avez FAIT de votre mieux ? Je vois des têtes qui hochent… Nous sommes plein de bonne Foi en disant cela. Nous avons FAIT de notre mieux.
Nous ne parlons pas la même langue, tous dans cette église, et pourtant, aujourd’hui, grâce à vous, nous sommes réunis ! Parce que l’universalité et des langues et des personnes, ça vous connaît !
Quel est le regard des enfants ? C’est le regard de pureté, de simplicité, de bonté. Et donc, si nous apprenons à regarder l’autre, celle que Dieu nous a confiée, celui que Dieu nous a confié avec un regard pur, avec un regard de bonté, jamais il ne nous viendrait à l’idée de le répudier.