Protégé : CCRFE – Hébreux I
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
Jeudi 19 Septembre 2024 - Vert - 22ème Semaine du Temps Ordinaire
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Il faut reconnaître que, s’il y en a un qui ne se laisse pas prendre par les apparence, c’est Dieu. Il voit bien mieux que nous. Il sait regarder le fond des cœurs, lui, et pas seulement les apparences…
C’est bien l’enjeu de la scène entre Jésus et la Samaritaine, elle, elle a soif d’eau, mais Jésus lui montre qu’en réalité elle a soif d’autre chose, elle a soif de la grâce !
Elle, elle pense à l’eau d’ici, mais Jésus lui donne de l’eau de là.
Sans mauvais jeu de mots : il lui propose l’eau de la vie éternelle.
Il nous revient donc, si nous vivons de la grâce de Dieu, d’être parfois transfiguré, de laisser traverser la présence de Dieu à travers notre regard, notre sourire. Et c’est très important parce que, lorsque nous serons ressortis tout à l’heure, nous allons croiser dans la rue des gens qui ne connaissent pas Dieu. Si on ne leur offre pas un sourire – même des yeux – ils vont se dire : « dis donc, ça a pas l’air très sympa d’aller à l’église… à voir la tête de ceux qui en ressortent, ça donne pas envie ! »
L’Esprit-Saint aurait-il perdu la tête ? Ou même perdu l’Esprit ? C’est une question qu’on peut se poser en entendant le début de l’Evangile de ce dimanche, le récit des tentations au désert. Vous avez entendu ! L’Evangile commençait par ces mots : « Jésus fut conduit au désert par l’Esprit pour être tenté par le diable. »
L’Esprit-Saint aurait-il perdu la tête ? C’est une question qu’on peut se poser en lisant l’Evangile de ce premier dimanche de Carême qui commence par ces mots : « Jésus fut conduit au désert par l’Esprit pour être tenté par le diable. » L’Esprit conduit sciemment Jésus dans un lieu particulièrement inhospitalier. Et il le fait pour que Jésus soit tenté par le diable… on aura tout vu !
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
Le texte des Béatitudes que nous propose la liturgie de ce dimanche, dans sa version longue propre à Matthieu, est l’un des plus beaux textes de l’Evangile… si on le comprend ! Et ce n’est pas facile. Reprenons quelques-unes de ces béatitudes…
Ce dimanche, nous fêtons la solennité de « Sainte Marie, Parent 2 de Dieu ». Du moins si l’on écoute nos amis français et avec eux les ayatollahs du bien-parler inclusif, on ne doit plus dire Papa ou Maman, Père ou Mère, on doit dire « Parent 1 » et « Parent 2 » désormais. Tel est, en tout cas, le langage des formulaires officiels.
En ces temps de possible pénurie d’électricité, il y a les gens qui éteignent tout, partout, véritables chevaliers de l’ombre, défenseurs du côté obscur, et qui vous hurlent dessus si vous avez le malheur d’avoir laissé une petite loupiote allumée dans la maison… comme si cette pauvre petite ampoule de lampe de chevet pouvait régater avec les lampadaires de nos rues ou les vitrines de nos magasins de luxe.